Ce fut à cette excellence et à elle seule, qu'il dut de s'élever si haut. Grâce à ce grand corps infatigable, puissant, habile dans les exercices cavaliers, grâce à cette cervelle apparemment trop petite pour entraver par des raisonnements superflus le naturel épanouissement de sa vigueur physique : peu de pensées, et courtes, un attachement têtu, dans sa force bornée, à l'éthique très fruste des gens de guerre dont les valeurs tiennent en trois mots : prouesse, largesse et loyauté.