Les courses, c'est du gâteau, dit-il. On s'attarde, à la fin, et on observe les veinards qui font la queue pour ramasser leur fric. Et quand on voit quelqu'un ramasser un gros paquet de billets, on le suit et on se sert. Mais attention, l'aristo, je chipe jamais aux perdants ni aux pauvres types, rien que ceux qui ont les moyens, les gagnants et les richards.