C'est un petit chat noir, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table souvent. Quelque-fois il s'assied sans faire de tapage ; on dirait un joli presse-papier vivant. Tout d'abord, de son nez délicat il le flaire, le frôle ; puis à coup de langue très petite, il le lampe, et dès lors il est à son affaire, et l'on entend, pendant qu'il boit, un clapotis.
Pourquoi avoir omis la deuxième et troisième strophes du poème sans l'indiquer par un point de suspension entre parenthèses ? D'autant plus qu'il manque une référence au lait donné à boire à ce gentil petit chat noir si insolent.