Ne connaissant que trop bien les tares de la société française, que j'étudie depuis près de quarante années, je ne doute pas qu'elle ne recèle dans tous les domaines des dizaines, sinon des centaines, d'esprits d'insigne envergure condamnés par la "nomenklatura" à n'être jamais de leur vivant connus du grand public, si même ils devaient l'être un jour longtemps après leur mort.