Ce n'est pas celui qui a peu mais celui qui désire plus, qui est pauvre. Qu'importe, en effet, combien d'or gît dans ses coffres, combien de blé dans ses greniers, combien d'animaux il a au pâturage, ou d'argent placé, s'il convoite le bien d'autrui, s'il compte non ce qu'il a acquis mais ce qu'il doit acquérir ? Tu demandes quelle est la mesure de la richesse ? La première, posséder ce qui est nécessaire ; la deuxième, ce qui est suffisant.