Entends-tu, Irénée, cette petite chose qui bat la mort des secondes ? Elle est étroite et sombre et par l'affreuse lunette le balancier brillant a l'air d'un couperet. Les frêles secondes accourent. Elles passent leur tête par l'ouverture : tic, tac, les voilà mortes, mortes pour jamais.