À partir des années 80, l'industrie du cinéma s'est chargée d'articuler la réponse la plus répressive et efficace aux mouvements d'émancipation. Elle disait : les filles c'est fait pour être désirées et forcées, les noirs c'est fait pour faire le ménage et danser, les gros c'est fait pour rigoler, les révolutionnaires c'est fait pour être assassinés, les pauvres sont faits pour avoir faim et être plaints mais sauvés par un riche gentil, etc.