Останні коментарі

Concerned Typist
Bro what u yapping about

Norman Schwarzkopf
One of the weirdest quotes I've ever come across. Thinking America is the only country …

Anonymous
I eat spiders.

Dr. Seuss
This is a good quote :)

Jimmy Hayward
The most fire movie of all time.

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Pablo Neruda - À MON COEUR SUFFIT TA POITRINE
À mon coeur suffit ta poitrine, mes ailes pour ta liberté. De ma bouche atteindra au ciel tout ce qui dormait sur ton âme. En toi l'illusion quotidienne. Tu viens, rosée sur les corolles. Absente et creusant l'horizon. Tu t'enfuis, éternelle vague.

Maurice Pialat - Rassurez-vous
Je ne vais pas faillir à ma réputation. Je suis surtout content ce soir pour tous les cris et les sifflets que vous m'adressez. Et si vous ne m'aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus.

Paul Valéry - Le vent se lève
Le vent se lève !... Il faut tenter de vivre ! L'air immense ouvre et referme mon livre, la vague en poudre ose jaillir des rocs ! Envolez-vous, pages tout éblouies ! Rompez, vagues ! Rompez d'eaux réjouies ce toit tranquille où picoraient des focs !

Alexandre Dumas - Le comte de Monte-Cristo
Et maintenant, dit l'homme inconnu, adieu bonté, humanité, reconnaissance... Adieu à tous les sentiments qui épanouissent le coeur !... Je me suis substitué à la Providence pour récompenser les bons... que le Dieu vengeur me cède sa place pour punir les méchants !

Maître Tâche - Nike et la trahison - Partie 1
Si vous travaillez pour Nike, c'est à vie. Vous ne devez surtout pas changer de métier, votre activité est traquée par les Agents Nike. Des cyberpoliciers de Nike vous espionnent aussi sur Internet, surveillant vos moindres actes, ils ont tout sur vous. Tout commentaire négatif à propos de Nike, vous dites vouloir changer de métier, ils le sauront, et devinez pourquoi ? Car tous ces actes sont considérés comme des trahisons. Lil Nas X en est la preuve, il a osé aller contre les lois de Nike...

Olympe de Gouges - Déclaration des droits de la Femme et du citoyen
Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.

Nikola Tesla - L'empathie selon Tesla
Je me suis coupé le doigt, et cela me fait mal : ce doigt est une partie de moi. Je vois un ami souffrir, et cela me fait souffrir aussi : mon ami et moi sommes un. Et maintenant, je vois un ennemi terrassé, un morceau de matière dont, de tous les morceaux de matière dans l'univers, je me soucie moins, et cela me chagrine encore. N'est-ce pas la preuve que chacun de nous n'est qu'une partie d'un tout ?

H. D. Thoreau - La désobéissance civile
Mais c'est la faute du gouvernement lui-même si le remède est effectivement pire que le mal. C'est le gouvernement qui le rend ainsi. Pourquoi ne chérit-il pas la sagesse de sa minorité ? Pourquoi crie-t-il, pourquoi résiste-t-il avant même d'avoir mal ? Pourquoi n'encourage-t-il pas ses citoyens à être vigilants et à pointer ses failles, et à agir mieux qu'il ne le leur demande ?

Hatik, Jok'air - La meilleure
J'te connais par coeur, comme si j'avais toujours connu. T'es ma meilleure amie, mon âme soeur, avec toi, j'suis dans le bonus. Entre nous c'est physique, comme la street, tu m'attires comme un aimant. T'es la plus belle de toutes mes musiques, t'es la brique et t'es le ciment.

Klem Schen - Message
J'pense à toi, j'pense à nous deux, mes sentiments en silencieux, mon coeur blessé fais ses adieux, on passe du coup de foudre au coup de feu. Sept mois pour tomber amoureux, deux jours pour se laisser tous les deux. Au final on est tous pareil, on se fait juste tourner l'appareil. T'es le cauchemar de mon sommeil, t'es le nuage de mon soleil, j'suis très loin mais je te surveille, dans le mal j'réfléchis, j'bois une bouteille. Et je sais que tu me baratines, on s'adore mais on se chagrine...

Dinos - No Love
Plus de life, plus de tass', plus de cash, plus de moula. Moi parfois, toi souvent, vitre teintée, toit ouvrant. Flèche dans l'coeur, coeur dans l'tieks, tieks dans l'feu, feu dans yeux. Pluie dans sky, sky dans l'verre, sky quand j'pleure, skylander. On rattrape tout à part le temps, à par le vent. On recoud tout à part les fleurs, à part le coeur. J'me sens comme si j'avais une âme dure à prendre. J'me sens comme si j'avais une arme sur la tempe.

Henri Barbusse - le feu Partie 04 - Description des tranchées de 1914 (action-guerre)
On a le cœur soulevé, tordu par l'odeur soufrée. Les souffles de la mort nous poussent, nous soulèvent, nous balancent. On bondit ; on ne sait pas où on marche. Les yeux clignent, s'aveuglent et pleurent. Devant nous, la vue est obstruée par une avalanche fulgurante, qui tient toute la place.

Henri Barbusse - Le feu Partie 03 - Description des tranchées de 1914 (action-guerre)
On voit, on sent passer près de sa tête des éclats avec leur cri de fer rouge dans l'eau. À un coup, je lâche mon fusil, tellement le souffle d'une explosion m'a brûlé les mains. Je le ramasse en chancelant et repars tête baissée dans la tempête à lueurs fauves, dans la pluie écrasante des laves, cinglé par des jets de poussière et de suie.

Henri Barbusse - Le feu Partie 02 - Description des tranchées de 1914 (action-guerre)
On trébuche, on se retient les uns aux autres, dans de grands flots de fumée. On voit, avec de stridents fracas et des cyclones de terre pulvérisée, vers le fond où nous nous précipitons pêle-mêle, s'ouvrir des cratères, çà et là, à côté les uns des autres, les uns dans les autres. Puis on ne sait plus où tombent les décharges.

Henri Barbusse - Le feu Partie 01 - Description des tranchées de 1914 (action-guerre)
Brusquement, devant nous, sur toute la largeur de la descente, de sombres flammes s'élancent en frappant l'air de détonations épouvantables. En ligne, de gauche à droite, des fusants sortent du ciel, des explosifs sortent de la terre. C'est un effroyable rideau qui nous sépare du monde, nous sépare du passé et de l'avenir. On s'arrête, plantés au sol, stupéfiés par la nuée2 soudaine qui tonne de toutes parts ; puis un effort simultané soulève notre masse et la rejette en avant, très vite.

Umberto Eco - Tu es le diable - Le Nom de la Rose
Oui, on t'a menti. Le diable n'est pas le principe de la matière, le diable est l'arrogance de l'esprit, la foi sans sourire, la vérité qui n'est jamais effleurée par le doute. Le diable est sombre parce qu'il sait où il va, et allant, il va toujours d'où il est venu. Tu es le diable, et comme le diable tu vis dans les ténèbres.

Anna Gavalda - Homo Dégénéraris - Ensemble c'est tout
Eh bien ma chère, aujourd'hui c'est très simple, vous avez devant les yeux un magnifique exemplaire d'Homo Dégénéraris, c'est-à-dire un être totalement inapte à la vie en société, décalé, saugrenu et parfaitement anachronique !

Frantz Fanon - Respect de l'ordre - Les Damnés de la Terre
Dans les sociétés de type capitaliste, l'enseignement, religieux ou laïque, la formation de réflexes moraux transmissibles de père en fils, l'honnêteté exemplaire d'ouvriers décorés après cinquante années de bons et loyaux services, l'amour encouragé de l'harmonie et de la sagesse, ces formes esthétiques du respect de l'ordre établi, créent autour de l'exploité une atmosphère de soumission et d'inhibition qui allège considérablement la tâche des forces de l'ordre.

Frantz Fanon - Les Damnés de la Terre
La première chose que l'indigène apprend, c'est à rester à sa place, à ne pas dépasser les limites. C'est pourquoi les rêves de l'indigène sont des rêves musculaires, des rêves d'action, des rêves agressifs. Je rêve que je saute, que je nage, que je cours, que je grimpe. Je rêve que j'éclate de rire, que je franchis le fleuve d'une enjambée, que je suis poursuivi par des meutes de voitures qui ne me rattrapent jamais.

Sylvia Plath - La Cloche de Détresse
Si j'avais laissé faire le chasseur, c'est que ça avait vraiment l'air de lui faire plaisir de se montrer utile. Je croyais que ce genre de services était compris dans le prix des chambres. J'ai horreur de donner de l'argent à des gens pour des choses que je peux parfaitement faire moi-même, ça me rend nerveuse.